Corporel

Corporel

 

Aux yeux d’obsidienne

Qui coulent dans mes veines

 

Tes lèvres calment cerbère

Et ta poitrine aux effets d’aspirine

Calme la déprime de la routine

 

Tes cheveux non graisseux

Valent tout l’or des dieux

Alors que tes oreilles

Tous nous émerveillent

 

Ton bassin, Maison

De nos mains nous faisons

Qui pour un embryon

S’en iront toucher ton front

 

Ton arrière-train

Du beau matin

Comme de satin

En fait rager plus d’un

 

Ton puits depuis la première nuit

Ne cause que d’ennuis

Fermer à tes ennemis

Ouvert à tes amis

 

Tes pieds depuis que tu grandis

Jusqu’ici ton conduit

Qui t’a dit qu’ils sentent le brie

T’as menti